Temps Suspendu

Nous, les surpuissants, terrassés par l’infiniment petit.

À PARTIR DE MAINTENANT, NOUS ALLONS PEUT-ÊTRE ARRÊTER LA GUERRE DE TOUS CONTRE TOUS. Aller vers ce qui nous unit, si nous voulons, avant même de vivre de telle ou telle manière, déjà tout simplement survivre !

Notre arrogance, notre orgueil d’appartenir à l’espèce dominante en route vers l’immortalité, notre indifférence hautaine et glaciale envers tout ce qui n’est pas MOI, se trouvent brusquement confrontés au constat que nous sommes non seulement mortels, mais éminemment fragiles ! Comme toute œuvre d’art, à vrai dire… Si, si, vous avez bien lu : j’ai parlé d’ŒUVRE D’ART.

Dessillons nos yeux (ceux du cœur, d’abord) et nous verrons LA MERVEILLE qui est la VIE, ce mystère jaillissant de lumière et de beauté. Qu’elle se manifeste à nous comme une œuvre d’Amour qui dépasse notre entendement, ou comme un processus apparement hostile et  indifférent à la souffrance et aux malheurs des Hommes, la VIE toujours en mouvement nous porte vers notre évolution, notre accomplissement. Notre bien.

L’humanité évolue et à chaque étape nous devons lutter contre nous-mêmes, contre notre propre ignorance, contre « l’ennemi » qui est en nous…

À chaque étape, nous devons surmonter des obstacles biologiques, géographiques, atmosphériques, mentaux, afin d’apprendre davantage, de comprendre davantage, ce qu’est la vie et ce que nos sommes, nous les vivantes dans la vie.

À chaque étape, nous avançons. Pas à pas, nous évoluons dans la connaissance, la compréhension, vers le meilleur de nous-mêmes.

Cette fois-ci nous n’allons plus nous battre les uns contre les autres. Cette fois-ci nous avons un ennemi commun. Il n’est ni blanc, ni noir, ni rouge, ni jaune. Il n’est ni riche, ni pauvre, ni d’Occident, ni d’Orient.
NOTRE ENNEMI EST INVISIBLE. Il n’est qu’un virus. Le haïr serait absurde !

Face à cet ennemi universel, il n’y a a pas de bouc émissaire qui tienne. Pas d’autre dieu que L’AMOUR. Pas d’autre solution que la solidarité, la fraternité pleine et entière.
Pas d’autre rêve que celui de s’en sortir, ensemble, tous ensemble !

Maintenant, tout n’est plus quand je veux, si je veux, tout-de-suite. « Moi d’abord », c’est fini ! Nous sommes obligés de coopérer, de nous supporter les uns les autres, de faire cause commune, si nous voulons qu’un demain humain existe encore. Pour chacun de nous, comme pour NOÛS tous.

Je crois cela possible, je crois que nous le pouvons, si nous le voulons.
JE CROIS EN L’HUMANITÉ !
ET VOUS… ?

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